Des couronnes mortuaires en faïence, des photos porcelaine, des mailles de chaîne en métal délimitant l’espace sacré de la tombe, des plaques déposées,… des objets puisés dans les marchés aux puces ou des pièces uniques sauvegardées après la destruction d'une tombe... tout dans cette « nécrothèque » possède une âme.

Ainsi, la mémoire du cimetière se ravive grâce à la passion d'un homme pour l'art et le patrimoine funéraire, Jacky Legge. Il n'en est pas à son premier ouvrage sur le thème. Le dernier s'intitule « Le Cimetière du Sud à Tournai : Cent sépultures du périmètre historique 1838 - 1860 ».