Vertigo

3 syllabes, 2 filles, 1 garçon, constituent le trio pop minimaliste Vertigo dont la musique se développe autour de leur goût pour les sons vintage, les envolées kitsch et séduisantes, et les frappes brutales.

Pourquoi Vertigo s’appelle Vertigo ?
Réponse A : pour le film d’Hitchcock.
Réponse B : en hommage à un claveciniste français du 18e siècle.
Réponse C : parce que Guns N’ Roses était déjà pris.
Réponse B : c’est en tombant sur Le Vertigo, improbable morceau de clavecin composé par Pancrace Royer que le trio lillois a décidé d’immortaliser une seconde fois cette oeuvre punk avant l’heure.
Alors, Vertigo slalome, louvoie et sème ses influences dans la poussière de chansons qui filent tout sauf droit : Yeah, Yeah, Yeahs (power trio forever),
Richard Wright (Farfisa, mon amour) et Beth Gibbons (il était une voix Portishead).
Si vous aviez coché la réponse A, c’était bien tenté, tant les Sueurs Froides du maître du suspens collent avec élégance, moiteur et paillettes à la pop de Vertigo.
Quant à la réponse C, vous n’avez pas tout à fait tort.