Nicola Andrioli trio, Skylight
Le synthé était le premier amour de Nicola Andrioli. Par la suite, le piano – classique puis jazz – ont pris le dessus. Mais, lors d’un récent concert avec Philip Catherine où l’on retrouvait Stéphane Galland, batteur atypique, et Federico Pecoraro, bassiste aussi à l’aise dans la pop que dans le jazz fusion, l’envie de retoucher du clavier électrique s’est faite ressentir. Andrioli avait les sons dans la tête, les mélodies au bout des doigts et l’écriture est devenue une évidence. Sur papier, cela aurait pu sonner « seventies », mais il n’en est rien. Il y a quelque chose de très actuel dans cette musique, quelque chose d’organique et d’extrêmement vivant. C’est plein de nuances, de surprises et de singularités…
Des notes bleues, une pointe de romantisme, un soupçon de rock atmosphérique… Jazzques pour les Lundis d’Hortense
Nicola Andrioli : piano, synthé
Stéphane Galland : batterie
Federico Pecoraro : basse électrique
Une collaboration avec les Lundis d’Hortense
Publié le 10/01/2022